186_Le pro-fil d’Ariane (Rome, 2004)
Le pro-fil d’Ariane (2004) Ariane Tu montes et descends. Ton corps deguisé (enveloppé, juste cenné) entre et sort, subite (derrière le fil homonyme) à travers ton special regard azuré. Ariane tu te...
View Article197_Irène (Rome, 2005)
Irène (paix après la défaite, ou à la veille d’une grandiose victoire ?) Quelquefois, je te vois arriver ou plutôt pointer parmi les ombres du boulevard Je te vois pirouetter, surprise par un son...
View Article200_Je vous raconte une histoire (Rome, 2005)
Je vous raconte une histoire (2005) Pour me faire pardonner, je vous raconte une histoire. Une histoire un peu gênante à débiter par son parcours malchanceux assiégé par les Hauts et les Bas par ce...
View Article202_Chanson pendulaire (Rome, 2005)
Chaque matin, pour me rendre au travail, après une longue saison consacrée au train, je traversais Rome de Nord à Sud. Deux mondes opposés, avec plusieurs différences, dont la principale, c’était le...
View Article232_Fils, mon fils (Roma, 1993)
Giovanni Merloni, Fuori posto, juillet 2014 Fils, mon fils (1993) Fils, mon fils, mon amoureux lys, (1) des vagues d’écume jaune me noient, en me ligotant les cheveux et les yeux ; un bloc de ciment...
View ArticleElle, la vie, mon amie
Giovanni Merloni, Fenêtre, septembre 2014 Elle, la vie, mon Ariane est badine et gitane moelleuse et abrupte tel un corps sans la croûte. Elle n’a pas de raccourcis ni de haltes jolies. Citadine ou...
View ArticleJe vide le sac (À présent, n. 14)
Giovanni Merloni, Trois générations, part. Janvier 2015 Je vide le sac Un sac de plâtras au bout de la rue là-bas pourrait contenir — pourquoi pas ? — nos deux corps foudroyés obligés de ressusciter...
View ArticleÀ présent dans l’île il n’y a qu’une barque (À présent n. 17)
Giovanni Merloni, Amour et géometrie, janvier 2015 À présent dans l’île il n’y a qu’une barque L’île enlève les filets sous un ciel s’ouvrant blanc à sa première lumière. Je m’effondre dans tes yeux...
View ArticleJe suis passé, personne ne m’a vu (Romamor n. 36)
Je suis passé, personne ne m’a vu (1) 1. Depuis le pessimisme Devant les gueules que je n’avais pas défoulées je suis passé, pour voir, pour être vu. Dans les lieux que je ne pouvais pas oublier, je...
View ArticlePOST SCRIPTUM (Romamor n. 31)
POST SCRIPTUM Le temps passe sans le moindre fracas. Le cœur en contrebasse, le chagrin me dépasse. Incertaines journées que de rêves comblées poursuivant en volée de petites mains gantées, la...
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